Chansons bretonnes sur imprimés populaires
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Nom : RUPPE
Prénom : François
Après son mariage, le 4 mars 1871, il remplit les fonctions d’expert, tout en tenant une auberge-restaurant. De 1881 à 1885, il fut maire de Spézet; il succédait à son frère Émile (1873-1880) qui lui-même succédait à son grand-père Jean-Marie (1837-1873), époux de Thérèse de Latouche. — Après 1885, Fols Ruppe devint receveur-buraliste à Spézet et le resta jusqu’à sa mort, survenue le ler juillet 1921. (Comm M. l’abbé Ruppe.) — V. n°s 485 A-C (1), 466.
(1) Il n’y a aucune indication d’air pour cette chanson, comme pour le n° 466. Mais il est probable que ce devait être un air bien connu. Comme cette chanson est devenue très populaire (le nombre des éditions l’indique suffisamment) l’air sur lequel elle se chantait a été pris pour un air original. Aussi trouve-t-on un certain nombre de chansons avec cette indication : Var ton ar Sergent-major. La même chose est survenue à Gwerz ar roue Gralon d’O. Souvestre.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 346.]
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Auteur : Ruppe (François)
Référence : A-00678Nom : RUPPE
Prénom : François
Liste des chants recensés pour cet auteur : (2 chants)
- Serjant-major Spezed hag e vestrez rannet o c’halon (Réf. C-00542)
- Soudarded ar bloavezh 1871 (Réf. C-00543)
Notice du catalogue Ollivier
Ruppe (François), né à Spézet (Fin.), le 17 juillet 1851. Il fit ses’ études jusqu’à la 4e inclusivement chez les Pères du Saint-Esprit à Langonnet (Morbihan); peut-être les termina-t-il au Collège de Quimper. Devenu soldat, il parvint au grade de sergent-major. Les gens du pays ayant atteint ce grade devaient être bien rares, car Fois Ruppe en était particulièrement fier et en parlait toujours avec enthousiasme.Après son mariage, le 4 mars 1871, il remplit les fonctions d’expert, tout en tenant une auberge-restaurant. De 1881 à 1885, il fut maire de Spézet; il succédait à son frère Émile (1873-1880) qui lui-même succédait à son grand-père Jean-Marie (1837-1873), époux de Thérèse de Latouche. — Après 1885, Fols Ruppe devint receveur-buraliste à Spézet et le resta jusqu’à sa mort, survenue le ler juillet 1921. (Comm M. l’abbé Ruppe.) — V. n°s 485 A-C (1), 466.
(1) Il n’y a aucune indication d’air pour cette chanson, comme pour le n° 466. Mais il est probable que ce devait être un air bien connu. Comme cette chanson est devenue très populaire (le nombre des éditions l’indique suffisamment) l’air sur lequel elle se chantait a été pris pour un air original. Aussi trouve-t-on un certain nombre de chansons avec cette indication : Var ton ar Sergent-major. La même chose est survenue à Gwerz ar roue Gralon d’O. Souvestre.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 346.]
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