Kanouennoù eus Breizh moullet evit ar bobl
Dataeg follennoù distag
Dataeg follennoù distag
Distro d’an enklask
Anv : SIDANNER
Anv bihan : Louis
Adstummoù an anv : Rennadis
Ouvrier relieur d’abord chez Victor Jean, puis chez Le Goaziou. Il a écrit : Eur Pesk-ebrel, c’hoari fentuz en tri arvest, renket gant an Aotrou L. Rennadis [nom de Sidanner retourné], avec une préface en français de F. Manach. (Montroulez, Moullet e ti Le Goaziou, 1900; in-80, 102 p.). Cette pièce en trois actes met en scène une farce formidable que lui avaient montée quelques camarades de l’atelier Le Goaziou où il travaillait à ce moment. Peu de temps après son impression, la pièce fut représentée au Patronage Saint-Martin, de Morlaix, et Sidanner tint à jouer lui-même le rôle du mystifié. F. Gourvil, dans un « Carnet » signé Keflleut, a raconté tout au long cette affaire qui amusa beaucoup les Morlaisiens (La Tribune, 12 octobre 1935). — V. n° 722.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 346-347.]
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Oberour : Sidanner (Louis)
Dave : A-00688Anv : SIDANNER
Anv bihan : Louis
Adstummoù an anv : Rennadis
Roll ar c’hanaouennoù evit an oberour-mañ : (1 kan)
- Tri bugel devet gant an tan-gwall (20-6-1885) (Dave C-00785)
Notennig katalog Ollivier
Sidanner (Louis), né à Morlaix, le 11 décembre 1855. Fils de Jean et de Catherine Le Jolu, époux de Marie-Anne Le Mat, décédé à Morlaix le 10 octobre 1906.Ouvrier relieur d’abord chez Victor Jean, puis chez Le Goaziou. Il a écrit : Eur Pesk-ebrel, c’hoari fentuz en tri arvest, renket gant an Aotrou L. Rennadis [nom de Sidanner retourné], avec une préface en français de F. Manach. (Montroulez, Moullet e ti Le Goaziou, 1900; in-80, 102 p.). Cette pièce en trois actes met en scène une farce formidable que lui avaient montée quelques camarades de l’atelier Le Goaziou où il travaillait à ce moment. Peu de temps après son impression, la pièce fut représentée au Patronage Saint-Martin, de Morlaix, et Sidanner tint à jouer lui-même le rôle du mystifié. F. Gourvil, dans un « Carnet » signé Keflleut, a raconté tout au long cette affaire qui amusa beaucoup les Morlaisiens (La Tribune, 12 octobre 1935). — V. n° 722.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 346-347.]
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