Autrefois, du temps de la liberté, les bardes ne seraient pas restés devant des lois injustes et les auraient dénoncées dans les foires et marchés. Maintenant nombreux tremblent à la voix du maître mais Taldir se fait toujours l’écho des Bretons quel que soit le bord d’où vient le problème. Nous sommes menés par des bourgeois aux poches pleines d’argent volé, le paysan oublié, l’ouvrier méprisé, le pauvre battu. Les Bretons ne sont pas mauvais mais malheur s’ils doivent relever la tête !
En France, l’esclavage est maître.