Une femme et ses deux enfants ont été tués par Maillot.
Puis, le 24 février 1950, Auguste Iran, à son lever, va voir ses bêtes mais en entrant dans la crèche, le meurtrier lui enfonce l’os du crâne dans la cervelle. Le journalier Geffroy subit le même sort. Le fils, entendant crier, se précipite mais rencontre Maillot dans la cour qui lui saute dessus et demande l’argent puis le tue comme son père. Son beau-père découvre les crimes et donne l’alerte. Puis on découvre Geffroy, étendu près du fumier, gémissant encore. Bientôt maire, médecin, gendarmes sont à la ferme de Roharou. Nombreux parmi les voisins soupçonnent Maillot. Interpelé, Maillot nie être le meurtrier mais finit par se dévoiler et avoue avoir caché l’arme. Mais Maillot réussit à s’échapper. Après plusieurs jours de fuite, il essaie de se réfugier chez Le Moal lui disant être accusé à tort. Le fermier prévient les gendarmes qui le prennent. Condamné à mort.
Je vous en prie, Bretons, ne froissez pas sa famille en paroles ou en actes, ils ne sont pas fautifs des crimes qu’il a commis.