{Pastiche du cantique « Ar baradoz »]. Jésus, qu’elle est belle la couronne du cocu : des cornes sur le front ! Le douanier trouve le temps court par les chemins à user ses sabots, à garder les talus, les bateaux, la mer et les poissons. Pendant ce temps sa femme est au lit avec un autre douanier. Heureux le cocu, à l’abri dans sa maisonnette, à affuter ses cornes à la bouche de sa femme fidèle. Que j’aimerais être sur son giron jour et nuit à chanter le cantique du Paradis.