Regrets du pays délaissé. Le Breton qui s’en va du pays heurte, dès le seuil, un cercueil où il laisse sa joie. S’il est un Dieu, qu’il pousse nos barques aux bords d’où nous venons pour, une dernière fois, monter au minic’hi, voir les batteurs au coin du champ, le pilhaouer près de l’étang, offrir à sainte Anne un anneau précieux.