Kanouennoù eus Breizh moullet evit ar bobl
Dataeg follennoù distag
Dataeg follennoù distag
Distro d’an enklask
Anv : GOËSBRIAND (DE)
Anv bihan : Pierre Désiré
Outre les chansons indiquées ci-dessous, de Goêsbriand a publié : Fables choisies de La Fontaine, traduites en vers bretons. (Morlaix, V. Guilmer, 1836); Gwerz emgann an tregont a Vretonet a enep tregont Saux,... (Morlaix, V. Guilmer, 1837).
Dans un article paru dans la Revue de l’ Armorique, 15 octobre 1843, p. 172-178, La Villemarqu é a comparé la gwerz sur le combat des Trente avec une autre sur le même sujet, Stourm ann Tregont appartenant au Barzaz Breiz (seulement à partir de l’édition de 1845), composée, nous dit-il, par « un poète populaire breton, contemporain de l’événement, dont les montagnards de l’Arrez ont retenu les chants ». Sans méconnaître les qualités réelles de la gwerz composée par de Goësbriand, La Villemarqué n’hésite pas à considérer Stourm ann Tregont comme supérieure. Le piquant de l’histoire, c’est que Stourm ann Tregont est parmi les pièces du célèbre recueil, une de celles dont l’authenticité comme chant véritablement populaire a été mise très sérieusement en doute. — V. n°s 195, 363, 379, 737.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 281-282.]
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Oberour : Goësbriand (Pierre Désiré de)
Dave : A-00231Anv : GOËSBRIAND (DE)
Anv bihan : Pierre Désiré
Roll ar c’hanaouennoù evit an oberour-mañ : (6 kan)
- Bevet ar roue. Bro C’hall dishual (Dave C-00400)
- Dibab fablennoù La Fontaine (Dave C-04280)
- Ginivelezh Herri, dug a Vourdel, mab d’an dug a Verri, ganet e Pariz (29-9-1820) (Dave C-00804)
- Gwerz emgann an Tregont (Dave C-04293)
- Kantik ar Vretoned (Dave C-00401)
- Son Herri IV, roue Frañs (Dave C-00402)
Notennig katalog Ollivier
Goësbriand (Pierre-Désiré de), né à Kerdaoulas, en Saint-Urbain, le 24 juillet 1784. A été maire de Saint-Urbain et juge de paix à Daoulas. Il est décédé à Kerdaoulas, le 5 juin 1853.Outre les chansons indiquées ci-dessous, de Goêsbriand a publié : Fables choisies de La Fontaine, traduites en vers bretons. (Morlaix, V. Guilmer, 1836); Gwerz emgann an tregont a Vretonet a enep tregont Saux,... (Morlaix, V. Guilmer, 1837).
Dans un article paru dans la Revue de l’ Armorique, 15 octobre 1843, p. 172-178, La Villemarqu é a comparé la gwerz sur le combat des Trente avec une autre sur le même sujet, Stourm ann Tregont appartenant au Barzaz Breiz (seulement à partir de l’édition de 1845), composée, nous dit-il, par « un poète populaire breton, contemporain de l’événement, dont les montagnards de l’Arrez ont retenu les chants ». Sans méconnaître les qualités réelles de la gwerz composée par de Goësbriand, La Villemarqué n’hésite pas à considérer Stourm ann Tregont comme supérieure. Le piquant de l’histoire, c’est que Stourm ann Tregont est parmi les pièces du célèbre recueil, une de celles dont l’authenticité comme chant véritablement populaire a été mise très sérieusement en doute. — V. n°s 195, 363, 379, 737.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 281-282.]
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