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Caractéristiques du chant
Référence : C-00918
Titre breton (normalisé) : An den yaouank a Vreiz, gard mobilizet (1870)
Titre français (normalisé) : Le jeune garde mobile de Bretagne (1870)
Auteur (normalisé) :
Sinquin (Charles)
Date de composition : 1873-03-31
Genre : En vers
Langue : Breton
Résumé :
C’est la guerre entre la France et Guillaume, roi de Prusse, et son armée redoutable de 1600 mille hommes. À Sedan, pendant trois jours on n’a entendu que les coups de fusils et le bruit des canons.
Les survivants envoyés en Prusse. Et moi, je dois partir à mon tour dans deux jours. Adieux aux parents, imploration de la protection de Notre-Dame. – Je suis maintenant dans le camp de Conlie dans la misère et le froid et ne reverrai plus mon pays. Nous sommes là pour apprendre l’exercice, pourtant nombreux sont réformés et malades.
Ici tout n’est que boue. À la merci de Bismarck, nous n’avons pas de munitions.
Quelle joie d’apprendre la fin de la guerre. Je rentre à la maison, heureux après ces années de misère. [signé de 1873).
Thèmes : Guerre de 1870 ;
Aventures des militaires, nostalgies ;
Retour de l’armée ou de voyage
Détails du chant
Titre : Kimiadou an den iaouank a Vreiz, o partial Gard Mobilizet, er blavez 1870, en amzer a Vrezel.
Auteur : Charles Sinquin (Scaër)
Structure : 37c 4v 13p
Éditions sur feuilles volantes
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Référence F-00722 -
unique chant de l’imprimé -
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