Chansons bretonnes sur imprimés populaires
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Nom : LALLOUR
Prénom : Jean-Marie Auguste
De retour à Quimper, il déposa à la mairie, le 22 septembre 1863, une demande d’ouverture d’une école libre à Quimper. Cette requête fut rejetée par le Préfet, bien que Lallour fût pourvu du brevet de capacité délivré par l’inspecteur d’Académie de Rennes, le 23 septembre 1839. Motif du refus : il n’était pas prouvé qu’il eût déjà exercé les fonctions d’instituteur. (D’après un Dossier de la série T, Archives du Fin. — Comm. D. Bernard.)
Dans les deux derniers couplets d’une gwerz faite par lui (n° 760), A. Lallour a donné quelques renseignements le concernant : « Auguste Lallour, de Quimper, second fils du maire. Il a été douze ans matelot, ou maître d’école, ou marchand. A nouveau, il est à Quimper, maître d’école rue des Gentilshommes ». L’autre édition (760 a), qui est antérieure, puisque Lallour la date à la fin du 12 juillet 1849, a un autre dernier couplet : « Il a été 12 ans absent de la maison, soldat, commis ou maître d’école. Il est aujourd’hui à Châteaulin, chez son oncle, sur le quai ».
Je ne sais à quelle époque ni où il est mort, mais certainement après 1870 (v. n° 31). — V. n°s 31, 48, 51, 560, 760, 908.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 296.]
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Auteur : Lallour (Jean-Marie Auguste)
Référence : A-00347Nom : LALLOUR
Prénom : Jean-Marie Auguste
Liste des chants recensés pour cet auteur : (8 chants)
- Aocher Breizh-Izel (Réf. C-00182)
- Ar bugel hag ar c’hi peñseet (Réf. C-00181)
- En enor kentañ greunadour a Frañs, La Tour d’Auvergne (Réf. C-00830)
- Kimiad koñskried ar bloaz-mañ (tro 1859) (Réf. C-00180)
- Torfed Pantin [Lallour Jean-Marie] (Réf. C-00027)
- [La marche de mes enfants] (Réf. C-02668)
- [La vieille bergère à ses petits-enfants] (Réf. C-02667)
- [Le caboteur bas-breton] (Réf. C-02965)
Notice du catalogue Ollivier
Lallour (Jean-Marie-Auguste), né le 20 juin 1812, à Quimper, fils de Jean-Marie Lallour et de Julienne Le Flahec. Il était instituteur primaire privé, quand le 9 avril 1850, il épousa à Quimper Marie-Françoise Thépault. Quelque temps après, il partit pour l’île de la Réunion, où il fut professeur d’anglais au Lycée. Revenu en France, il séjourna successivement à Paris, Toulon et Bordeaux. Dans cette dernière ville, il vivait « du produit de quelques ouvrages en vers qu’il plaçait à domicile ».De retour à Quimper, il déposa à la mairie, le 22 septembre 1863, une demande d’ouverture d’une école libre à Quimper. Cette requête fut rejetée par le Préfet, bien que Lallour fût pourvu du brevet de capacité délivré par l’inspecteur d’Académie de Rennes, le 23 septembre 1839. Motif du refus : il n’était pas prouvé qu’il eût déjà exercé les fonctions d’instituteur. (D’après un Dossier de la série T, Archives du Fin. — Comm. D. Bernard.)
Dans les deux derniers couplets d’une gwerz faite par lui (n° 760), A. Lallour a donné quelques renseignements le concernant : « Auguste Lallour, de Quimper, second fils du maire. Il a été douze ans matelot, ou maître d’école, ou marchand. A nouveau, il est à Quimper, maître d’école rue des Gentilshommes ». L’autre édition (760 a), qui est antérieure, puisque Lallour la date à la fin du 12 juillet 1849, a un autre dernier couplet : « Il a été 12 ans absent de la maison, soldat, commis ou maître d’école. Il est aujourd’hui à Châteaulin, chez son oncle, sur le quai ».
Je ne sais à quelle époque ni où il est mort, mais certainement après 1870 (v. n° 31). — V. n°s 31, 48, 51, 560, 760, 908.
[Ollivier, La chanson populaire bretonne sur Feuilles Volantes, p. 296.]
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